Nakamura Yuki [ TERMINE ]

Messages : 9 Date d'inscription : 20/04/2009

Nakamura Yuki
Feat. Kamenashi Kazuya

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Identity Card »

Nom : Nakamura
Prénom : Yuki
Surnom : Yu, Naka.
Âge : 21 ans
Sexe : Masculin
Date de Naissance : 23/04/1988
Lieu de Naissance : Pays & Ville Japon, à Yamaguchi.
Nationalité : Japonaise
Sexualité : Homosexuel

Descriptions »

Physique et Vestimentaire :

Yuki, sans pour autant être un Dieu de la beauté est un garçon assez mignon aux mimiques parfois tordante. Mimiques, qui ne sont pas dévoilées à tout le monde, bien entendu ! Son visage, d’abord. Il possède des traits fins, pas vraiment féminin mais qui lui donne tout de même une apparence jeune. D’ailleurs, on pourrait dire qu’il « ne fait pas vraiment » ses 21 ans ! Deux yeux marron et bridés sont les phares de ce visage. Ils lui donnent tantôt une apparence accueillante, tantôt une apparence plutôt fuyante. Ses cheveux, ah ! parlons de ses cheveux. A la base bruns, le jeune homme ne cesse de changer de couleur, entre le roux et sa première couleur. En tous cas, ils sont toujours mi-longs, lui tombant parfois sur les yeux. Yuki a une peau laiteuse et douce, semblable à une peau de bébé, ce qui lui valut plusieurs moqueries de certains dont il ne fait absolument pas attention. En gros, son visage peut refléter milles expressions si bien qu’on a souvent du mal à le définir lorsqu’on le voit pour la première fois...
Au niveau de son apparence global, Yuki est dans « la norme ». Ne dépassant pas les 171cm pour 54 kg, il n’a absolument rien à envier aux autres garçons de son âge. Mince et plutôt svelte, on pourrait le croire frêle, mais ses muscles peuvent sans problèmes le défendre. Il n’aime pas se battre mais possède parfaitement toutes les capacités pour ça...

Au niveau de ses tenues,Yuki n’a pas vraiment de style vestimentaire qui lui est propre. A vrai dire, il prend ce qui lui plait sur le moment, sans vraiment faire attention à ce qu’il porte. Chez lui, il ne s’habille que de vêtements larges dans lesquels il se sent à l’aise, par exemple des kimonos ou alors il adopte un pantalon de sport avec un tee-shirt large. Au lycée, il ne se contente que de jean ou de pantalons simple, ni larges, ni serrés, au couleur variant : ce peut être aussi bien du noir, du blanc, du bleu... Et pour le haut, le jeune homme ne porte pratiquement qu’une chose : des chemises. Celles-ci ouvertes sur un maillot qu’il met par dessous, il se sent vraiment à l’aise. Mais les tee-shirts font aussi partie de sa garde-robe. Il lui arrive parfois de mettre de gros pulls en laines, en hiver, avec une longue écharpe dont il s’enveloppe de deux ou trois tours. Baskets ou chaussures de ville ? Cela dépend de son humeur. Lorsqu’il est triste, il ne met que ses pulls et semble noyer sa tristesse dans sa longue écharpe noire...
Caractère :

Yuki est semblable à du cristal.
Oui, au moindre choc émotionnel trop fort, le jeune homme se brise en mille morceaux. En dépit de son apparence, Yuki est très fragile. Il possède un esprit assez complexe : constamment en quête de la perfection et d’un idéal impossible, les désillusions qui le frappent parfois laissent souvent des séquelles. Il lui est difficile d’exprimer ses pensées confuses, ses rêves, ayant peur du regard qu’on jettera sur lui ; tout cela fait de lui un jeune homme psychologiquement fragile (surtout lorsqu’il se sent extrêmement mal). Timide à l’extrême, ce défaut lui joue souvent des mauvais tours ; presque incapable d’aller vers les autres, il s’enferme dans un univers dont lui seul a accès. Aussi peut-il paraître froid au premier abord, préférant se plonger avec plus d’ardeur dans sa lecture ou sa peinture que vous adresser un regard. Cette apparence froide est un rempart, un moyen d’empêcher la souffrance de l’atteindre.

Pourtant, guidé par ses émotions, le jeune homme n’hésite pas à aider une personne dans le besoin. Son cœur tendre en fait un garçon très conciliant et ouvert qui éprouve facilement de la sympathie envers les plus démunis, pauvres et malheureux. Capable de laisser de côté ses propres problèmes, Yuki ira jusqu’au bout pour défendre quelqu’un ou ses idées : cette qualité est une arme à double tranchant, car le jeune homme est capable de tout donner au risque de tout perdre. Il peut se jeter éperdument dans une cause qu’il trouve juste. Si cela touche sa famille, le jeune homme n’hésiterait pas à donner jusqu’à sa vie. De plus, Yuki est extrêmement sensible à tout ce qui l’entoure, autant de choses qui peuvent paraître futiles aux yeux de certains lui apparaissent comme important ; la chaleur humaine, l’ambiance entre deux personnes, la nature. Avant tout, le jeune homme aime tout ce qui est naturel et spirituel, passant beaucoup de temps dans des temples ou reposant son esprit lorsqu’il le peut. C’est peut-être aussi du au fait que sa mère est très portée sur le Shintoïsme.

Yuki rêve de paix, d’amour, d’harmonie. Il en rêve mais en a peur. En effet, le simple mot « amour » a tendance à le mettre mal à l’aise. Le japonais a peur d’aimer et d’être aimé aussi sûrement qu’il a peur de se retrouver enfermé. Pour lui, aimer c’est mourir. A vrai dire, dans son esprit, aimer c’est s’engager et s’investir et il sait qu’il serait capable de trop donner de sa personne dans une relation amoureuse. Sa jalousie le rongerait de l’intérieur, l’empêchant de penser normalement en l’absence de l’être aimé et sa possessivité n’arrangerait rien. De plus, il sait avoir une préférence pour les hommes. S’attacher, c’est souffrir ; comme il dit. Mais d’un autre côté, le jeune homme veut aimer. Il veut être rassuré, qu’on le prenne dans ses bras et qu’on lui murmure des mots tendres.

Sinon, ne pensez pas qu’il ne sait pas sourire. Lorsque le japonais se trouve des amis aussi chers à ses yeux que sa famille, il devient aussi normal que le plus banal des étudiants, bien que ne pouvant pas totalement cacher sa timidité. Il aime rire avec eux, parler, ou simplement les sentir près de lui.
Par contre, Yuki fait très attention à ne pas laisser la rage ou la colère l’envahir. En effet, si il est l’incarnation de la délicatesse ou de la tendresse, les rares fois où il se met en colère ne le montrent pas sous son meilleur jour. Il peut être très violent, oubliant qui l’entoure ou même la raison de sa colère, une folie destructrice s’emparant de son corps.

Student Card »

Année : 3ème Année
Enseignement Majeur : Littérature
Clan : Artist
Leader : [ ] Oui [ X ] Non
Adresse Électronique : dreamerboy@live.co.kr

A Bit More »

Particularités : Il a tendance à perdre ses marque-pages, objet qu’il chérit plus que tout mais qui a la fâcheuse manie de tomber de sa poche ou de s’envoler...
Et puis, il est claustrophobe. Vous ne le verrez jamais prendre un ascenseur ou descendre dans un tunnel. Sans avoir peur du noir, l’obscurité l’oppresse et se promener seul là nuit lui donne des sueurs froides.
Chez lui, il possède de nombreuses peluches ! Euh oui, assez étrange mais ce sont des cadeaux de ses sœurs et le jeune homme les aime plus que tout. Il en a également quelques unes dans sa chambre, au lycée.^^
Liens :

Akimoto Kazuya : Durant son adolescence, Kazuya fut un des seuls à venir extraire quelques mots de la bouche de Yuki. Celui-ci aimait bien parler avec le jeune homme, bien qu’il ne veuille pas le reconnaître. A sa grande surprise, il l’a retrouvé à Talchul. Après tout, il n’en gardait pas le souvenir d’un garçon très bosseur. Mais peu importe : Yuki ne l’avouera jamais mais se sent rassuré de le savoir entre les murs du lycée bien qu’il n’ira sûrement jamais de lui-même pour lui parler. Et puis, si ça se trouve, Kazuya ne se souvient même pas de lui...
Couleur Préférée : Bleu.
Plat Préféré : Des pâtes, des plats très simples. Il ne mange pas beaucoup de toute façon.
Sucrerie Préférée : Tout ce qui ressemble de près ou de loin à du chocolat.
Style Musical Préféré : Un peu tout, bien que les musiques trop "violentes" ne lui conviennent pas...
Passe Temps : Lire, écrire, rêvasser, dormer…
Passion : Les tortues. Euh oui, bizarre, hein ? Ces bestioles le fascinent.^^
Objet Fétiche : Son marque-page. <3

About You »

Prénom et/ou Pseudo : Marie / Nishi, Bubulle ...
Âge : 17 ans.
Sexe : Féminin.
Pays : France.
Avatar : Nom de la célébrité sur votre avatar.
Post Vacant : [ ] Oui [ X ] Non
Fréquence de Connexion : 4 à 5 / 7 en période de cours^^
Niveau RP : Minimum 40
Comment avez-vous connu le Forum ? : J’viens de H&L et H&L2 =)
Que pensez vous du Design ? : Magnifique <3
Un petit truc en plus sur vous ? : Nope. ^^

Bienvenue ! &² Bonne chance pour la suite ! =D

Bievenue <3

Amuse toi bien !

queen

Messages : 9 Date d'inscription : 20/04/2009

Merci, tout le monde ! =)

Sinon j'm'excuse pour le retard pris dans cette fiche, j'essaie de finir pour ce soir ! ^^

Messages : 85 Date d'inscription : 19/04/2009

Bienvenue!!!!!

O_o ouin trop dommage que ton perso soit homo! Grrr pourquoi se sont toujours les sex symbols qu'ont peu pas avoir! XD

Messages : 9 Date d'inscription : 20/04/2009

Story »

Histoire :

Depuis le jour de sa naissance, Yuki a eu une vie des plus tranquilles.
Le jour où il vint au monde, le temps était au beau, le soleil brillait, et autour du lit où on l’avait installé, 5 paires d’yeux marron le regardaient avec tendresse. Le petit cadet venait de naître, pour le plus grand bonheur de ses sœurs et de ses parents. Car oui, il était le premier et dernier garçon de la petite famille. Celle-ci avait élu domicile à Yamaguchi, ville moyenne se situant le plus à l’ouest de Honshu et une des plus proches de la Corée du Sud. Sûrement une des raisons pour laquelle ils allaient souvent se « balader » dans le pays voisin.

Mais revenons à l’histoire même du petit Yuki. Enfant, c’était un garçon adorable et qui ne causait jamais le moindre problème. A vrai dire, l’enfance est une des périodes de la vie du jeune homme où il s’est senti le mieux. En effet, il ne se posait alors pas de questions et faisait comme tous les autres garçons de son âge : courir, jouer, chahuter. Peut-être un peu moins chahuteur que ses camarades, mais n’hésitant pas non plus à montrer qu’il savait se défendre. Tous ses maîtres pourront en témoigner ; même à cet âge-là, il démontrait une étonnante faculté à comprendre rapidement ce qui lui était demandé. Le petit garçon exécutait avec soin toutes les tâches qu’on lui assignait et ne rechignait jamais au travail. Il développa très vite un goût pour la lecture et les études. Mais plus que ça, ce que le petit préférait par dessus tout était sans doute les travaux manuels, le moment où il fallait sortir crayons, pinceaux, utiliser ses mains et son imagination. Il excellait dans ce domaine.

Ce fut au collège que Yuki commença à se renfermer sur lui-même. Déjà pendant l’école primaire, il avait subi plusieurs moqueries dues au fait que ses sœurs venaient toujours le chercher à la sortie ou le cajolaient. Ils avaient en partie raison. Le jeune garçon était autant surprotégé par sa mère que par ses trois sœurs. Il ne voyait pas ce qu’il y avait de mal dans cette façon de vivre et ne comprenait donc pas les moqueries et les rejets de ses camarades. Pour lui, sa famille avait toujours agi ainsi. Ce fut donc à ce moment-là qu’apparurent ses premières crises de larmes sévères. Cela le perturbait tellement que sa mère décida plusieurs fois de ne pas l’envoyer au collège. Il devenait de plus en plus introverti une fois dépassé le seuil de la maison. C’était dommage car, en compagnie de sa famille, il était un collégien des plus normaux ; il riait, blaguait, faisait des bêtises. Mais il devait s’y faire. Yuki était différent ; et il le savait. Alors, sa vie ne changea en rien. Ses sœurs le cajolaient, lui offraient ce qu’il voulait, sa mère avait constamment peur pour son « bébé ». Finalement, il parvint à surmonter sa peur des moqueries et des autres et retourna au collège pour se plonger dans ce qu’il faisait le mieux : les études. Il n’avait cure du regard des autres, ceux-ci le trouvant trop ennuyants et transparents à la longue. Ils le laissèrent donc tranquille. Yuki avait enfin la paix. Et il était seul. Si cela le dérangeait, il n’en laissa jamais rien voir à sa famille. Le jeune garçon menait déjà une double vie à 12 ans. Le jeune homme ne se rappelle aujourd’hui que d’un jeune garçon, Akimoto Kazuya, auquel il lui arrivait de parler. Pendant ses années de collège, il s’inscrivit aussi dans une école d’arts plastiques. Il s’adonnait alors à sa passion de la peinture, des travaux manuels, tout en développant de plus en plus un goût inné pour la lecture. Sa chambre était devenu une véritable bibliothèque. Yuki commençait à se créer un monde unique, pour lui et personne d’autres.

Au lycée, une nouvelle surprise l’attendit. Désormais, le jeune homme n’essayait même plus de s’intégrer. Parfois, il attisait la curiosité d’une ou deux filles, mais elle laissait assez vite tomber en voyant son manque de motivation vis à vis d’elles. Les garçons étaient rares à lui parler ; c’est avec surprise qu’il retrouva Kazuya, un des seuls à faire sortir un mot de sa bouche. Mais le jeune homme s’en contentait. S’ouvrir aux autres lui était de plus en plus difficile. Il n’essayait même plus. Cependant, un jour où il voulait essayer l’appareil photo offert par son père, son univers bascula. Si l’oiseau dans l’objectif lui semblait merveilleux, son cœur s’arrêta lorsqu’apparut dans son champ de vision un jeune homme souriant. Que faisait-il dans son objectif ? Et surtout, pourquoi son sourire le troublait tant ? Pour une des premières fois de sa vie, Yuki ressentit le désir d’en apprendre plus sur un être humain. L’autre se présenta assez rapidement, visiblement enjoué par cette rencontre dans le parc non loin du lycée. Satoshi. Ce nom parvient parfois à lui arracher quelques frissons, encore aujourd’hui. Sans savoir comment, le jeune homme s’ouvrit à cet inconnu. Il ne l’avait jamais vu dans l’enceinte du lycée, étant âgé d’un an de plus que lui. Yuki lui accorda sa confiance et ils devinrent amis. Satoshi le protégeait lorsque certains de ses camarades s’avisaient de le persécuter. Les deux jeunes hommes devinrent inséparables. Une journée sans apercevoir Satoshi devenait un cauchemar pour le japonais. Les soirs à la maison lui paraissaient longs ; même ses sœurs ne parvenaient plus à attirer son attention. Elles comprirent que leur petit frère avait trouvé une personne de son âge. Très vite, le lycéen comprit que ce qu’il ressentait pour son meilleur ami allait au delà de l’amitié. Il paniqua. Pendant plusieurs jours, il évita le jeune homme, se plongeant dans ses cours comme avant. Mais son ami n’était pas dupe ; il savait que quelque chose n’allait pas. Ce fut les yeux emplis d’inquiétude qu’il vint chercher directement Yuki à sa salle de cours. Après les cours, ils se dirigèrent vers le parc. Ils s’assirent sur un banc et, maladroits comme des enfants, essayèrent d’exprimer leur sentiment. Aucun des deux n’osa prononcer le verbe « aimer ». Mais leurs yeux ne pouvaient se mentir. Les premières lèvres qui se posèrent sur celles de Yuki furent celles d’un homme. Ce soir-là, ce fut les yeux brillants, les joues rouges et le sourire aux lèvres qu’il rentra chez lui un peu plus tard que d’habitude. Alors, le jeune homme découvrit un autre monde. La vie semblait plus belle et les après-midi dans le parc devinrent son moment préféré de la journée. Du haut de leur 16 et 17 ans, les deux jeunes hommes semblaient aussi indécis l’un que l’autre et c’était souvent les mains tremblantes et les gestes saccadés qu’ils échangeaient de tendres et timides baisers. Combien de temps cette idylle dura ? Cinq, peut-être six semaines. La réalité les rattrapa alors. Cette réalité dure et inévitable. Comme Yuki aurait voulu que ce ne soit qu’un rêve ; comme il aurait souhaité que cette voiture renversant son ami ne fût qu’une illusion. Ce n’était que la réalité.

Tout s’effondra. Plus rien n’existait. La vie elle-même n’avait plus aucune valeur à ses yeux. Cet événement causa sa première et dernière tentative de suicide. Et, alors que ses larmes se mêlaient aux gouttes de sang, Yuki se maudit. Il se maudit d’avoir espéré si fort, d’avoir cru pouvoir jouir de ce que les autres obtenaient si facilement : la tendresse, l’affection, l’amour tout simplement. Mais ses sœurs n’étaient pas prêtes à le laisser partir. Il ne garda qu’un souvenir flou de son passage aux urgences et de son séjour à l’hôpital. Il ne se rappelle qu’un vide immense en se réveillant, seul, sans Satoshi à ses côtés. Ce fut la première fois qu’il en voulut à sa famille. Il leur en voulut de l’avoir sauvé.
Le retour à la réalité fut difficile. Après cet événement, le jeune homme s’enferma encore plus dans son monde. Pendant très longtemps, il ne sourit plus et pour la première fois, devint distant même avec sa famille. Sa mère pleura longtemps tandis que ses sœurs s’efforçaient de le faire rire. Au milieu de ses livres et de ses peluches, le jeune homme restait dans son univers où la souffrance ne pouvait plus l’atteindre. Au lycée, on l’évita encore plus ; on était au courant de son geste et de la raison de celui-ci. Obtenir le diplôme lui fut facile même si cela lui semblait futile, tout comme la vie. Au bout d’un an, il parvint de nouveau à rire et sourire ; les liens avec ses sœurs et ses parents finirent pas se resserrer à nouveau. La famille prit alors une étonnante décision. Son père lui expliqua que, en tant que dirigeant d’entreprise, il avait utilisé ses contacts pour lui permettre d’entrer dans une école réputée. Talchul. Elle se trouvait à Séoul, en Corée du Sud. Cela ne devait pas poser trop de problèmes puisque la petite famille avait souvent fait des séjours en Corée. Son père argua que cela lui permettrait de changer d’environnement. Il savait comme son fils ne supportait plus la vue du lycée ni celle du parc. Yuki hésita longuement. Finalement, il décida d’y aller. Après tout, il n’avait rien à y perdre.
Famille :

La famille, c’est sûrement ce qui compte le plus pour Yuki.
D’aussi loin qu’il se souvienne, il ne se rappelle aucune dispute de ses parents. Pour le jeune homme, son père était son héros. Nakamura Kousuke n’était parti de presque rien, provenant d’une famille d’ouvriers. A force d’acharnement, il avait fini par créer une petite entreprise électronique. Aujourd’hui, il dirige un modeste empire, largement suffisant à pourvoir les besoins de sa famille. Nakamura Sakiko est la mère parfaite. Trop parfaite, à vrai dire. Encore aujourd’hui, elle considère son fils comme son bébé et ne peut s’empêcher de le protéger envers et contre tout.
Viennent ensuite ses trois sœurs : Rika, Ai et Suzuka. Les deux premières, âgées de 29 et 26 ans, sont toutes les deux mariées. Elles habitent encore toutes les deux dans le département de Yamaguchi et essaient de voir le plus souvent leur famille. Elles envoient aussi beaucoup de lettres à Yuki. La dernière, âgée de 24 ans, est sans doute la plus proche du jeune homme. C’est elle qui lui offre le plus de peluches et inonde souvent son portable d’emails.

Tu as fini ta fiche ! =D
Mais nous ne te validons pas encore. D'abord il te faut accomplir différentes... Missions.
Prêt(e) ? Alors c'est partit !
1°/ Il te faudra aller demander une habitation ICI
2°/ Il te faudra également aller demander un compte MSN pour ton personnage ICI.
3°/ Aller réserver ton avatar ICI
4°/ Si tu n'as pas d'Avatar, demandes-en un ICI
5°/ Et enfin, Il ne faudra pas oublier de faire la fiche de tes relations et de tes topics ICI
Et là, nous pourrons te valider ! =D Bonne chance !

Messages : 9 Date d'inscription : 20/04/2009

Je crois que j'ai tout réglé de mon côté ! =D

Okkk !

Validé

Validé =]

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